À l’issue d’un premier caucus post-électoral du Bloc Québécois, le chef Yves-François Blanchet a présenté lors d’un point de presse, la nouvelle équipe des officiers du parti à la Chambre des communes.
C’est Christine Normandin, députée de Saint-Jean, qui a été désignée leader en Chambre du Bloc Québécois tandis qu’Alexis Deschênes, député de Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine—Listuguj, s’est vu confier la responsabilité de leader adjoint.
Yves Perron, député de Berthier—Maskinongé, a été confirmé comme whip du parti, responsabilité qui lui avait été assignée une première fois en décembre dernier. Il sera épaulé par Marilène Gill, députée de Côte-Nord—Kawawachikamach—Nitassinan, comme whip adjointe.
Martin Champoux, député de Drummond, agira pour sa part en tant que président du caucus.
Le vétéran Louis Plamondon, député de Bécancour—Nicolet—Saurel, demeure en poste à titre de vice-président.
Au terme d’un mandat à présider le caucus des députés du Bloc Québécois, la députée de Laurentides–Labelle, Marie-Hélène Gaudreau, cède sa place. « C’est avec le sentiment du devoir accompli que je passe le flambeau à Martin. Je suis très fière des dernières années, au cours desquelles je présidais les rencontres et assurait la cohésion au sein du caucus. Je laisse à mon collègue une aile parlementaire soudée, qui n’a vécu aucune crise ni scandale pendant mon mandat », exprime Marie-Hélène Gaudreau. « Je pourrai maintenant me concentrer sur les dossiers importants pour les citoyennes et les citoyens de Laurentides–Labelle et du Québec, en fonction des responsabilités qui me seront confiées par mon chef », poursuit la députée de Laurentides–Labelle.
« Alors que nous nous apprêtons à entreprendre cette nouvelle session parlementaire, nous réitérons aux Québécoises et aux Québécois que notre engagement à leur égard demeure tout aussi ferme. Nous allons continuer à promouvoir leurs intérêts et à défendre les valeurs de la nation québécoise avec sérieux et rigueur. Nous allons continuer à travailler positivement, en appuyant ce qui est bon pour le Québec, en améliorant ce qui doit l’être et en nous dressant contre ce qui est mauvais pour le Québec », a conclu M. Blanchet.
