Une centaine de militants et de sympathisants du Bloc Québécois étaient réunis hier soir au restaurant-bar L’Usine, pour accueillir le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet et le député de Rivière-du-Nord, Rhéal Éloi Fortin. Cette rencontre concluait le passage d’Yves-François Blanchet à Saint-Jérôme, dans le cadre de sa tournée estivale. Ils avaient d’abord dîné avec le maire de Saint-Jérôme, Marc Bourcier, avant de rencontrer les dirigeants de Lion Électrique.
Après un bref mot de bienvenue de la part du président du Bloc Québécois de Rivière-du-Nord, Jean-René Roy, M. Fortin a pris la parole et salué les nombreux dignitaires présents, dont les maires Paul Germain de Prévost et Marc Bourcier de Saint-Jérôme, ainsi que Lucie Papineau, ancienne députée de Prévost et ministre dans le cabinet de Bernard Landry, et Claude Cousineau, ancien député de Bertrand.
Il a également remercié les nombreux participants qui étaient venus en grand nombre, rappelant que les bloquistes sont prêts et gonflés à bloc pour la prochaine campagne. « Je le constate depuis 2015 et c’est toujours le cas aujourd’hui, les gens de Rivière-du-Nord apprécient le travail du Bloc Québécois. Ils sont conscients que nous sommes là pour les bonnes raisons et que c’est sans compromis que nous les représentons et défendons leurs intérêts au sein du parlement fédéral. Le Bloc est le seul parti qui incarne véritablement les valeurs du Québec, et je suis très fier d’en faire partie et de représenter les gens de Rivière-du-Nord. »
La soirée s’est terminée par une prise de parole d’Yves-François Blanchet, suivie d’une séance de questions-réponses entre les participants, le chef, et le député de Rivière-du-Nord.
Le chef du Bloc Québécois n’a pas manqué de souligner le succès de l’événement : « À partir de maintenant, les rencontres militantes sont des rencontres d’organisation et je compte bien que les dizaines et dizaines de personnes qui viennent nous voir seront activement engagées dans la campagne à venir. Ça vaut plus pour le mouvement indépendantiste que tous les gros donateurs des grands partis fédéralistes. Une élection, ça se gagne, ça ne s’achète pas. »
