Klaus dévoile Joy Will Find a Way avant la sortie de son album

CRÉDIT PHOTO : MARC-ÉTIENNE MONGRAIN

Klaus présente aujourd’hui Joy Will Find a Way, le deuxième extrait de Klaus II, nouvel album en forme de renaissance au milieu du bruit. Si le premier extrait flirtait avec le disco funk, cette nouvelle piste se tient en équilibre sur la fine ligne entre espoir et désespoir, tout en faisant danser les oreilles attentives.

Entraînante et rythmée, portée par un refrain qui l’élève vers des hauteurs insoupçonnées, Joy Will Find a Way touche à la réflexion existentialiste de Klaus, personnage devenu band ou band devenu personnage.

Ce brillant évadé, qui optait pour la fuite dans Smarties se retrouve ici complètement égaré, habité du sentiment de n’appartenir à rien ni personne, de ne trouver sa place nulle part et de mourir à petit feu face à l’inéluctable absurdité de l’existence.

Le refrain souffle Klaus en avant, tel un vent dans le dos et rappelle que même dans la plus ténébreuse des incertitudes, la vie sait toujours nous ravir par sa beauté inattendue.

Faite du charme mélodique et de l’ingéniosité des arrangements dont seuls François Lafontaine et Joe Grass ont le secret, la chanson se déploie sur la batterie de Robbie Kuster, fidèle allié des deux têtes chercheuses de Klaus.

L’ALBUM KLAUS II PARAÎTRA LE 28 NOVEMBRE

Des concerts suivront, (c’est presqu’un secret) le band a annoncé discrètement deux dates avant son lancement officiel, dépêchez-vous d’acheter vos billets!

LES PREMIÈRES DATES DE SPECTACLES…

6 NOVEMBRE  | VERRE BOUTEILLE | MONTRÉAL

8 NOVEMBRE | LE MOUTON NOIR | VAL-DAVID

POUR ÉCOUTER JOY WILL FIND A WAY, C’EST PAR ICI.

Visionnez le visualiser de Joy Will Find a Way réalisé par Manuel Souris.

POUR ÉCOUTER LE PREMIER EXTRAIT, SMARTIES, C’EST PAR ICI.

À PROPOS DE KLAUS

Derrière le visage de Klaus, buriné par l’âpreté du chemin parcouru, les têtes et les cœurs de François Lafontaine (Karkwa, Marie-Pierre Arthur, Galaxie) et Joe Grass (Patrick Watson, Elisapie, The Barr Brothers, Lhasa) ont reconnu l’ampleur des saccades ayant mené au bord du ravin. Est-ce que, tout ce temps-là, c’était eux le monstre ? Ou avaient-ils simplement œuvré à le nourrir chaque matin ?

Dans chaque petit geste, chaque décision plus facile à prendre que la précédente, ils parviennent, avec l’album II, à faire taire le bruit ambiant, la réverbération et l’écho inutile des faits marquants du jour pour offrir la splendeur d’un rush de sucre et l’amplitude d’une vague.

C’est Joe Grass et François Lafontaine — deux mules prêtes à porter sur leurs épaules une entité plus grande qu’eux. C’est Frankenstein sur un buzz de Smarties. C’est Klaus.

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