Crise du coût de la vie : Marc-Olivier Neveu souhaite soulager la classe moyenne

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Dans le contexte de la crise du coût de la vie, Québec solidaire s’engage à donner un congé de TVQ sur des milliers de produits essentiels, jusqu’à ce que l’inflation se calme. « C’est la première chose qu’un gouvernement solidaire fera, dès cet automne », confirme Marc-Olivier Neveu, candidat de Québec solidaire Saint-Jérôme. Ce congé de TVQ s’applique à plusieurs dépenses essentielles et permettra à une famille moyenne d’économiser environ 1 100 $ par année. 

Pour le candidat, la vie doit redevenir abordable au Québec. Les coûts de biens essentiels des Québécois et Québécoises doivent baisser, car les factures montent plus vite que les salaires.  « Inflation, loyers exorbitants… la vie chère frappe les ménages. Je rencontre beaucoup de Jérômiennes et Jérômiens qui se demandent comment ils vont passer l’hiver et la classe moyenne est fragilisée », s’indigne le candidat solidaire. François Legault propose de gérer la crise de l’inflation d’un chèque à l’autre, sans plan et sans vision. Ce n’est pas une solution viable. On mérite mieux ».

Sous un gouvernement solidaire, les biens essentiels seront détaxés, tant que la crise du coût de la vie se poursuivra, notamment la nourriture, les vêtements, médicaments en vente libre (sans prescription) et les articles et accessoires de soins corporels.

Salaire minimum

Autre mesure proposée par Marc-Olivier Neveu, une hausse du salaire minimum à 18$/heure. Alors que Youri Chassin le décriait comme un « salaire d’étudiant » à l’Assemblée nationale ce printemps, le candidat solidaire affirme au contraire que cela touche tous les groupes d’âges, particulièrement les femmes. Tous sont frappés actuellement par la hausse du prix des aliments et des biens essentiels, cela est encore plus vrai pour les personnes à faibles revenus. « Le salaire minimum à 18$/heure, c’est un minimum de dignité pour les travailleuses et les travailleurs! La pandémie a engendré des profits records pour les multinationales, notamment en alimentation. Pendant ce temps, les personnes travaillant dans ces entreprises doivent choisir entre payer des factures ou payer leur épicerie, c’est insensé! Sachant que près de la moitié des Jérômiennes et des Jérômiennes gagnent 30 000$ ou moins annuellement au travail, il est temps de cesser de pouvoir survivre à chaque paie, mais bien de donner de l’oxygène aux travailleuses et aux travailleurs », conclut Marc-Olivier Neveu de Québec solidaire Saint-Jérôme.

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