Mis en place au printemps dernier par la Municipalité de Saint-Placide, le Carrefour d’entraide de Saint-Placide, la microferme l’Enracinée, le Verger de Saint-Placide, les jardins de l’Amitié ainsi que des citoyennes engagées, le parcours comestible de Saint-Placide se veut un projet à rayonnement collaboratif dont l’objectif est la récolte de produits cultivés destinée à la redistribution citoyenne.
Cette initiative permettra aux participants de cultiver et de cueillir des aliments frais au cœur même du village de Saint-Placide. Installés sur le terrain de l’école de l’Amitié, les jardins de l’Amitié proposent des bacs de culture destinés aux élèves et aux citoyens afin qu’ils puissent y cultiver des plantes potagères et des fines herbes. Quant au jardin collectif, situé dans le parc municipal près de la bibliothèque, la majorité de la plantation est formée de petits fruits, d’arbres fruitiers et de fleurs comestibles. De plus, la Municipalité de Saint-Placide a également introduit des plantes comestibles dans ses plates-bandes.
À noter que des espaces ont aussi été aménagés pour des plantes destinées aux insectes pollinisateurs et aux papillons.
« Je suis très fier du travail accompli par les intervenants impliqués dans ce projet. Le partenariat local est un outil précieux pour le succès d’une telle initiative. Un remerciement sincère à ma conseillère municipale Marie-Ève d’Amour, Ghislaine Tessier du Carrefour d’Entraide de Saint-Placide, Nadine Pineault, de la Microferme l’Enracinée, Caroline Granger du Verger de Saint-Placide, Véronique Durocher des jardins de l’Amitié, Louise Elsliger, une citoyenne jardinière et Karine Paquette, une citoyenne jardinière et horticultrice de la Municipalité pour l’aboutissement de ce projet mobilisateur. », a mentionné le maire de Saint-Placide, monsieur Richard Labonté.
Rappelons que le parcours collectif est le fruit d’un partenariat entre le Jardin collectif, les jardins de l’Amitié, et les plantations municipales qui sont, quant à elles, toutes réparties dans le noyau villageois. Les premières récoltes sont attendues pendant l’été 2021.
